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Poésie Française est à la fois une anthologie de la poésie classique, du moyen-âge au début du XXème siècle, et également un espace de visibilité pour l'internaute, amateur éclairé ou professionnel qui désire y publier ses oeuvres à titre gratuit. 6Rm2CU. Download Free PDFDownload Free PDFDownload Free PDFEditions Hermann, 2020Jean-François PuffThis PaperA short summary of this paper37 Full PDFs related to this paperDownloadPDF PackPeople also downloaded these PDFsPeople also downloaded these free PDFsPeople also downloaded these free PDFs Négativité et dynamique du sujet lyrique dans la poésie de Jacques Brault, de Michel Beaulieu et d'Hélène Dorion »by Evelyne GagnonDownload Free PDFView PDF"Sur les pistes du long poème contemporain". In L. Bonenfant, I. Miron et N. Watteyne dir., Les formes américaines de la poesie. Vingt essais, p. 2013; pp. Nicoletta DolceDownload Free PDFView PDFFormes américaines de la poésie. 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Sens modifié au milieu du XIVe siècle art de la fiction littéraire » . } La poésie est un genre littéraire très ancien, aux formes variées, écrites généralement en vers mais qui admettent la prose et qui privilégient l’expressivité de la forme ; les mots disant plus qu’eux-mêmes par leur choix sens et sonorités et leur agencement rythmes, métrique, figures de style. } Le verbe poiein » grec ancien signifie faire, créer » . Le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives, ce que révèlent aussi les termes du Moyen-Âge trouvère et troubadour. Le poète, héritier d’une longue tradition orale, privilégie la musicalité et le rythme, d’où, dans la plupart des textes poétiques, le recours à une forme versifiée qui confère de la densité à la langue. } Le poète recherche aussi l’expressivité par le poids accordé aux mots comme par l’utilisation des figures de style et au premier chef des images et des figures d’analogie, recherchées pour leur force suggestive. L’Antiquité Dans l’Antiquité grecque, toute expression littéraire est qualifiée de poétique, qu’il s’agisse de l’art oratoire, du chant ou du théâtre tout fabriquant de texte » est un poète comme l’exprime l’étymologie. Première expression littéraire de l’humanité, utilisant le rythme comme aide à la mémorisation et à la transmission orale, la poésie apparaît d’abord dans un cadre religieux et social en instituant les mythes fondateurs dans toutes les cultures, que ce soit avec l’épopée de Gilgamesh IIIe millénaire avant en Mésopotamie, les Védas et le Ramayana indiens, la Poésie dans l’Égypte antique, la Bible des hébreux, L’Iliade et L’Odyssée des grecs, ainsi que L’Énéide des latins. Source Wikipédia – Poésie » L’une des caractéristiques de la poésie orale est qu’elle contient des formules, des répétitions de mots, en particulier des épithètes et des phrases stéréotypées, parfois des lignes et des paragraphes entiers, qui permettent au poète, qui les a préalablement mémorisés, de réciter sur-le-champ un poème à la demande. Source Dictionnaire de l’Antiquité, Robert Laffont, poésie orale » Les premiers ouvrages de la littérature grecque, les poèmes homériques, furent d’abord composés et transmis oralement. Même lorsque l’alphabet phénicien fut adopté pour transcrire le grec, au VIIIe siècle avant la tradition orale survécut. Dès la fin du VIIe siècle avant les ouvrages en prose, plus difficiles à mémoriser que la poésie et qui auraient difficilement survécu par transmission orale, ont dû être transcrits. Ce serait le tyran athénien Pisistrate qui aurait ordonné, au milieu du VIe siècle avant de transcrire par écrit le premier texte homérique. Les textes écrits ne commencèrent à se répandre que vers le Ve siècle avant époque à laquelle se diffusèrent les œuvres des philosophes et historiens primitifs, des poètes étudiés dans les écoles et peut-être des poètes tragiques. C’est également l’époque où le commerce des livres vit le jour, rendant possible la constitution de bibliothèques par des particuliers. La bibliothèque d’Aristote au Lycée fut le modèle qui servit, au IIIe siècle avant à la fondation de la bibliothèque d’Alexandrie. C’est aux travaux des bibliothécaires et érudits alexandrins que l’on doit de posséder aujourd’hui nombre de textes et commentaires scholies de la littérature grecque classique. Les manuscrits qui parvenaient à Alexandrie provenaient de copies effectuées avec plus ou moins de soins, si bien que beaucoup d’entre eux recélaient des erreurs et des modifications des textes originaux. La tâche des érudits alexandrins était de restituer, dans la mesure du possible, les textes dans leur forme originale, de les classer par catégories et de rédiger des commentaires portant sur les caractéristiques linguistiques, littéraires ou sur le contexte antique. La restitution d’un texte selon l’original posait des problèmes de conventions orthographe et un problème d’interprétation car les textes étaient rédigés en continu, sans séparations. Il en fut ainsi bien au-delà de l’époque hellénistique, puisque ce n’est qu’au Moyen-Âge que fut introduite une séparation nette entre les mots. Les accents, invention hellénistique, ne furent de même couramment utilisés qu’à partir du Moyen- Âge. La ponctuation était rudimentaire et très peu usitée ; dans les pièces de théâtre par exemple, les changements d’interlocuteurs étaient indiqués par un trait horizontal placé au début du vers ou par un comma Musique – intervalle très petit », source de nombreuses erreurs. Source Dictionnaire de l’Antiquité, textes antiques, transmission des. » Dans la mythologie grecque, l’inspiration poétique est incarnée par les Muses, dont le nom signifie à la fois parole » et chant » . Filles de Zeus et de la Titanide Mnémosynè la Mémoire, les neuf Muses, conçues au cours de neuf nuits d’amour, forment un chœur conduit par Apollon, le dieu musical surnommé d’ailleurs pour cela le Musagète. Éducatrices, inspiratrices, médiatrices entre le dieu et le poète , elles incarnent la parole poétique et la mémoire de l’aède. Elles permettent au poète d’accéder à la connaissance des exploits des héros et, par son chant, de les révéler. Les poètes sont ainsi dans un état d’enthousiasme ; littéralement, ils ont le dieu theos en eux -en et deviennent comme des messagers. C’est pourquoi les poètes n’ont pas besoin de la vue ; Homère, même aveugle, reçoit ce don des Muses et peut, par son inspiration, faire vivre la mémoire des héros dans ses épopées. L’Odyssée commence, comme beaucoup de chants poétiques, par une invocation aux Muses, qui soufflent » l’inspiration du récit. Source Lexique des symboles de la mythologie grecque, PUF Le poète archaïque grec Hésiode est le premier à les nommer et a peut-être lui-même inventé leurs noms. Selon lui, il y en a neuf ; au début de la Théogonie, il raconte, en un passage célèbre, comment elles lui ont accordé le don de poésie et la connaissance du passé, récit qui a influencé les poètes ultérieurs lorsqu’ils essaient d’expliquer comment leur vient l’inspiration poétique. Le siège originel du culte des Muses se situe en Piérie, près du mont Olympe en Thessalie, et sur le mont Hélicon en Boétie d’où leur nom de Piérides ou d’Héliconiennes, mais il existe des cultes mineurs dans toute la Grèce. À l’époque romaine, chaque Muse représentait un art particulier } Calliope la poésie épique ;} Clio l’histoire ; } Euterpe le jeu de la flûte et la poésie lyrique ; } Melpomène la tragédie ; } Therpsichore la danse chorale et le chant ; } Érato la lyre et la poésie lyrique ; } Polymnie les hymnes aux dieux et la pantomime ; } Uranie l’astronomie ; } Thalie la comédie et la poésie bucolique. La musique mousikè » – art des Muses » fait partie intégrante de la vie grecque ; c’est un élément essentiel de tous les événements religieux publics, des banquets et des réunions en société. Les concours musicaux faisaient partie de beaucoup de grands jeux, en particulier des jeux Pythiques …. Presque toutes les formes de poésie grecque étaient accompagnées traditionnellement par un type de musique. Les principaux instruments de musique étaient la lyre, lyra ou kithara cette dernière est une forme plus élaborée de la première, et ce qu’on appelle la flûte, aulos. La lyre était surtout employée pour accompagner la poésie lyrique. Les épopées homériques étaient chantées ou récitées avec une lyre. La flûte était l’instrument habituel pour accompagner le dithyrambe forme de chœur chanté en l’honneur du dieu Dionysos et les chœurs tragiques ou comiques. Contrairement à la Grèce, la musique à Rome n’est pas un élément essentiel de l’éducation aristocratique, et d’une manière générale la musique en tant qu’art, tout comme les musiciens, étaient considérés avec un léger mépris ; ceux-ci s’étaient très tôt organisés en guildes collegia » pour se protéger mutuellement. Cependant, l’importance de la flûte tibia, semblable à l’aulos grec dans les cérémonies religieuses est prouvée …. La musique de la flûte accompagnait les prières, les sacrifices, les défilés triomphaux au Capitole, les processions au Circus Maximus et les cortèges funèbres. Source Dictionnaire de l’Antiquité, Muses » ; musique » L’assonance latine Le type d’assonance appelé allitération, souvent employé de manière ostentatoire et sans art, est un élément courant dans la poésie latine à ses débuts. Mais à l’époque de Virgile, elle finit par être employée avec beaucoup de subtilité et pour un effet émotionnel. L’oreille romaine semble avoir apprécié la répétition judicieuse de terminaisons semblables dans les passages les plus enflammés d’un discours, un aspect de l’assonance manié avec plus de subtilité par les poètes. Cet usage se transforme facilement en une sorte de rime que l’on remarque parfois dans la poésie à toutes les époques, mais utilisée délibérément dans les hymnes scandés, à partir du Ve siècle après et avec une grande beauté dans les chansons profanes médiévales. Source Dictionnaire de l’Antiquité, assonance » Les temps mérovingiens C’est au VIe siècle que l’on voit ainsi poindre les traditions médiévales et que s’opère la jonction entre notre littérature et les lettres antiques ; Antiquité qu’il ne faut évidemment pas restreindre à l’Antiquité classique et dans laquelle les grands écrivains sacrés, Augustin, Jérôme, Ambroise, puis Boèce, ont déjà créé une littérature originale ; les derniers écrivains que l’on peut appeler gallo-romains ont bénéficié de leur apport et ont participé à ce courant. Et la Gaule est devenue la France. Les Barbares que Sidoine Apollinaire 430 – 486, homme politique, évêque et écrivain gallo-romain voyait approcher avec inquiétude – ces Barbares n’ont qu’un désir continuer les traditions de leurs vaincus ; et c’est à leur cour et dans leur entourage que l’on voit effectivement l’activité littéraire renaître, et même inaugurer des voies nouvelles. Fortunat vers 530 – 609, poète chrétien né en Italie s’installe en France. C’est en pèlerin qu’il débarque dans la région des bords de Loire …. Il se fixa dans le pays et c’est aux environs de Poitiers qu’allait s’élaborer notre première tradition française, sous l’influence conjuguée de ce poète italien et d’une princesse barbare, Radegonde. Ses vingt années de production poétique sont dès lors entièrement inspirées par un sentiment nouveau, … une sorte d’admiration amoureuse, une tendresse pleine de respect, un amour dans lequel l’intimité de deux âmes est comme transfigurée par le sentiment mystique, par le culte de la Vierge. La poésie de Fortunat donne le premier écho d’un thème d’inspiration qui va dominer tout le Moyen-Âge. Un contemporain, Grégoire de Tours vers 538 – 594, est à la prose ce que Fortunat est à la poésie. Son Historia Francorum, en dix livres, est le premier monument de notre histoire … ; déjà dans son oeuvre la France apparaît avec ses contours traditionnels et sentie dans son unité. La période qui va suivre, jusqu’aux temps carolingiens, ne produira plus d’œuvres d’une semblable envergure et ne connaîtra de véritable activité que dans le domaine de la poésie liturgique. Dans cette période profondément troublée par les invasions normandes et sarrasines, le monde anglo-saxon sera le refuge de la culture occidentale et de sa vie intellectuelle. Lorsque Charlemagne voudra rétablir celle-ci dans son royaume, il s’adressera à l’Anglais Alcuin, formé par l’école d’York. Source Encyclopédie de la Pléiade, Histoire des littératures III Charlemagne et l’école palatine C’est autour de l’empereur et de la cour d’Aix-la-Chapelle que se recrée la vie littéraire. Il fait appel à des lettrés venus de toutes les régions d’Occident …. C’est donc un monde international, première figure de ce que seront par la suite les grandes universités médiévales. Il est vrai que la culture qu’il désire restaurer est résolument axée sur le monde antique dont il se veut l’héritier. Les œuvres nées à la cour d’Aix-la-Chapelle sentent quelque peu l’exercice d’école ; mais elles transmettent aussi, partiellement, les apports nouveaux. L’univers musical tout entier doit à Paul Diacre les noms des notes de la gamme, tirés, comme on le sait, de son hymne sur saint Jean Baptiste, Ut queant laxis. On voit d’ailleurs poindre à la même époque quelques indices, sinon d’une littérature de langue vulgaire, tout au moins de poèmes ou de chansons qui ne sont plus composés en latin. Charlemagne aurait également fait édicter des règles de grammaire pour l’usage de la langue franque et imposé des vocables francs pour nommer les mois et les douze vents. Ainsi ce même empereur qui s’efforçait de réintroduire le latin classique donnait une existence officielle à la langue vulgaire. On a pu parler de bilinguisme à propos de cette époque qui s’étend approximativement du milieu du IXe siècle au milieu du XIe siècle, et qui est aussi celle pendant laquelle la féodalité se forme et prend conscience d’elle-même. Source Encyclopédie de la Pléiade, Histoire des littératures III La poésie médiévale française C’est au XIIe siècle que, parallèlement à la poésie didactique, à la poésie épique voir Chanson de geste, à la poésie dramatique ou religieuse, se développe la première poésie lyrique d’expression française. Il s’agit d’une poésie où s’exprime un je » personnel. Le lyrisme n’est pas seulement expression du sentiment amoureux. S’il cherche à exprimer toute la sensibilité personnelle du poète, il le fait avec une recherche de musicalité. En effet, trouvères et troubadours sont avant tout des poètes musiciens, et la poésie lyrique médiévale sera longtemps tributaire de la musique médiévale. Influencés par le renouveau du culte de la Vierge au XIIe siècle et par la poésie arabe, les troubadours de langue d’oc créent une esthétique raffinée pour chanter l’amour. Ce sera le fin’amor ou amour courtois. Un siècle plus tard, les trouvères en langue d’oïl, c’est-à-dire en ancien français, développeront ce lyrisme dans le nord de la France.Source Wikipédia – Poésie médiévale française » } Gai savoir en ancien occitan, gay saber » , désigne l’art poétique des troubadours. Une poésie lyrique plus savante et plus raffinée s’était développée dès la fin du XIe siècle, dans le midi de la France. Le centre en était à Toulouse, dont les comtes étaient protecteurs du gai savoir, et souvent poètes eux-mêmes. La poésie provençale exerça, dès la seconde moitié du XIIe siècle, une très profonde influence sur la poésie du Nord. Et nous savons que la cour de Champagne devint un centre de courtoisie et de littérature Chrétien de Troyes. Source Histoire illustrée de la Littérature Française, Hatier, 1937Qu’elle s’inspire de la poésie arabe et de sa figure du fou d’amour, très présente en Espagne, ou de rites pré-chrétiens instaurant une certaine liberté de la femme à certaines époques de l’année, cette poésie musicale instaure à la fin du XIe siècle une conception de l’amour nouvelle en Occident et parvient à intégrer celle-ci aux valeurs féodales où prévalait le code chevaleresque sacré. L’amour courtois ou fin’amor reprend, en effet, la structure de base du système féodal, mais place la dame latin domina » – maîtresse de maison » ; épouse » ; souveraine, impératrice » en position de seigneur et maître. L’amant, nécessairement de rang inférieur à celle qu’il aime, est soumis à toutes les volontés de celle-ci, et n’attend de récompense qu’à proportion de la prouesse qu’il entreprend au nom de l’amour. Cette dévotion absolue à la dame prend une orientation mystique et subit l’influence, à partir de la fin du XIIe siècle, de la dévotion à la Vierge Marie, seule Dame digne d’amour. Source Wikipédia – Poésie médiévale française »Si, des thèmes d’inspiration, on passe à l’expression, il est très frappant de remarquer la place que tiennent les préoccupations techniques chez le poète médiéval. Il témoigne pour la forme, pour les vers, d’un souci d’artisan, et les recherches sont nombreuses soit dans la combinaison et la structure des strophes, soit encore dans le domaine de la versification pure où la rime apparaît, qui peu à peu détrônera l’assonance. C’est précisément dans la littérature occitane que ce procédé de la rime, qui donne son caractère typique à la poésie française, commencera à se développer à partir du milieu du XIe siècle pour passer dans la langue d’oïl au début du XIIe siècle. Le vers » ou chanson » , forme habituelle de la lyrique amoureuse, comporte généralement cinq ou six strophes dont les vers de nombre très variable, généralement huit ou neuf par strophe se terminent sur la même rime ; un envoi très court complète le poème. Mais cette structure générale comporte des variations infinies, aussi bien dans le style que dans la versification. À côté de la chanson » d’amour proprement dite – et on doit se garder d’oublier que ces poèmes étaient effectivement destinés à être soit chantés, soit, tout au moins, accompagnés d’une mélodie – d’autres genres trouvent place dans la poésie lyrique en langue provençale ; telles sont l’ aube » et la pastourelle » imitées de la poésie lyrique du Nord de la France. Source Encyclopédie de la Pléiade, Histoire des littératures III La poésie des trouvères La poésie lyrique de langue d’oïl ne possède pas par elle-même de thème majeur, comme celui de l’amour courtois pour la langue d’oc ; en revanche, elle présente une grande variété de ton et se maintient plus longtemps que la poésie provençale. Le genre le plus ancien est celui des chansons de toile ; on n’en connaît pas qui soit postérieure au XIIe siècle et elles semblent assez obscurément liées à la poésie épique. Ce sont de petits poèmes où, en quelques strophes à peine, est évoqué un drame d’amour ; le poète ne le raconte pas, il se contente d’y faire allusion et sa discrétion même rend ces petites pièces extrêmement pathétiques. Notre poésie lyrique comporte peu d’œuvres composées avec autant de fraîcheur et de sensibilité que les chansons qui nous montrent Belle Aye éclatant en larmes sur la pièce de soie qu’elle brode, Belle Erembourc apostrophant l’ami qui l’a délaissée sur de faux rapports, ou Oriour pleurant sa sœur Gaie partie pour le pays de son fiancé. Presque toutes ces chansons sont assonancées et non rimées; toutes comportent un court refrain, fort heureux parfois comme celui de Gaie et Oriour Vente l’air et rameaux croulent ceux qui s’aiment doucement dorment » . Deux autres types de poèmes dont il a déjà été question comportent une forme assez fixe l’aube ou chanson du point du jour, alba – blanche » et la pastourelle ; la première chante la séparation des amants au lever du jour, à l’appel du chant des oiseaux … ; la seconde est la rencontre, devenue vite assez banale, du chevalier et de la bergère qui tantôt repousse et tantôt accepte l’aventure. Source Encyclopédie de la Pléiade, Histoire des littératures III Diffusion de la poésie lyrique française Cette rapide recension de la lyrique médiévale à l’époque féodale XIIe et XIIIe siècles demeurerait très incomplète si l’on ne mentionnait l’extraordinaire influence qu’elle eut à l’étranger. Mettons à part l’Angleterre qui, pendant toute cette période, se confond en fait avec la France, puisque ses rois et une grande partie de sa noblesse sont de souche française et que notre langue y est la langue quasi officielle. Plus remarquable est le cas de l’Espagne. La cour des rois de Castille a été un véritable centre d’activité poétique et, pendant tout le cours des XIIe et XIIIe siècles, les troubadours ne cesseront d’y être accueillis. Cet accueil était favorisé du fait que la route de Compostelle connaissait à cette époque l’incessant va-et-vient de pèlerins que l’on sait, tandis que les chevaliers français venaient à l’aide des armes de Castille pour entreprendre la reconquête de l’Espagne sur les Arabes. Source Encyclopédie de la Pléiade, Histoire des littératures III Conclusion La poésie, première expression littéraire de l’humanité, reste jusqu’au XIIe siècle étroitement liée à la musique. C’est également à cette époque que la rime apparaît et fait progressivement disparaître l’assonance. Nous pouvons dès à présent noter que le titre de l’énigme 500 Ut queant laxis fait référence aux noms des notes de la gamme musicale. Il me semble important de faire un lien entre l’inspiration poétique et la troisième ligne de l’énigme 530, qui commence ainsi } Mon Quatrième s’inspire, … » . Le verbe Inspirer 1190 provient du latin inspirare » construit avec le verbe spirare » qui signifie souffler » et le préfixe -in » dans, vers » ; sur » . Inspirer } Animer d’un souffle, d’un élan divin. Apollon inspirait la Pythie.} Donner l’inspiration, le souffle créateur dans l’art, les activités intellectuelles. Être cause et sujet d’inspiration. } Faire naître en suscitant un sentiment, une idée, un dessein. V. Donner, imprimer, insuffler, suggérer » . } Par extension Inspirer quelqu’un déterminer son comportement par des conseils. V. Conduire, conseiller, diriger » . } Souffler dans. V. Insuffler » . Faire entrer l’air dans ses poumons. V. Aspirer » . Nous retrouvons dans le verbe Inspirer l’idée du divin, déjà évoquée auparavant dans l’analyse du titre de la chasse. Un autre sens à creuser, qui rejoint l’étymologie de Trouver, est celui de la création. En ce qui concerne le texte de l’énigme 780, un rapprochement peut être établi entre la poésie et la dernière ligne de l’énigme } Par la boussole et le pied. » En effet , dans la poésie française, le rythme d’un poème est déterminé par le nombre de syllabes, fixe, de chaque vers. Dans la poésie grecque, ce rythme dépend du nombre de syllabes dans un vers, mais aussi de la quantité » de ces syllabes, selon qu’elles sont longues ou brèves. Aussi, le vers grec ainsi que le vers latin est souvent décrit comme quantitatif » . En général, un vers grec est formé par la répétition de brèves séquences syllabiques, chaque séquence étant appelée mètre ou pied. Deux syllabes brèves sont en durée l’équivalent d’une longue ; ainsi dans certains cas deux brèves peuvent prendre la place d’une longue, phénomène appelé résolution. Source Dictionnaire de l’Antiquité, Robert Laffont, mètre » Après cet article, qui contient beaucoup d’informations intéressantes pour la suite de la chasse, je vous propose une première analyse de l’énigme 600. Bonne journée et à très vite sur Le Moyeu ! Hors ligne 14 Octobre 2018 Je prends la vie comme elle vient Je vis au jour le jour on verra bien Demain je ne me prends pas la tête Tous les samedis soirs c'est la fête Au fond de moi je me sens bien Même si dés fois j'ai du chagrin Toujours consolé par un copain On se parle de tout et de rien Je prends la vie comme elle vient C'est ma philosophie au quotidien Et j'écoute chanter ce grand poète Comme lui je fume une cigarette Parfois je déprime comme mon voisin Et même souvent pour être honnête J'ai de la chance d'avoir quelqu'un A qui parler, mon voisin est chouette Je prends la vie comme elle vient Je vis au jour le jour et tout va bien A quoi bon se prendre la tête allouette Tous les samedis soirs moi je fais la fête o Maître poète Hors ligne o Maître poète Hors ligne 14 Octobre 2018 Mais oui ! C'est comme ça, mon Jeannot ! Il faut vivre au jour le jour et se laisser bercer par Serge Gainsbourg car je pense que c'est de lui dont tu parles " sourire" ta ptite Rose fidèle et ta pote ! o Maître poète Hors ligne 14 Octobre 2018 ne crains rien, Jeannot, je ne vais pas t'imposer une vidéo de Gainsbourg j'aimerais bien te faire un autre cadeau ... alors ... je cherche ... arf ! ta pote Rose *** Hors ligne 14 Octobre 2018 Tu as raison, il faut prendre la vie comme elle vient Bonne fin de journée Personne Hors ligne 15 Octobre 2018 J'adore votre franchise et votre naturel, vous avez raison à quoi sert de se prendre la tête, nous ne pourrons rien ou si peu changer notre destin, autant vivre au jour le jour et demain sera un jour nouveau et il fera jour... Amicalement Lise Hors ligne Hors ligne

poésie prends la vie dans le bon sens